L’imposition du barème kilométrique

Vos frais kilométriques peuvent être déduits de vos impôts dans le cadre de votre déclaration d’impôts 2017. Nous verrons quel est ce barème et enfin si son utilisation est obligatoire. Sachez qu’une simulation d’impôts peut s’avérer utile afin de voir où on en est. Nous vous recommandons de tester l'outil disponible sur le site https://www.scpi-8.com/

Qu’est-ce que le barème kilométrique ?

Le barème kilométrique est publié chaque année par l’administration fiscale, il permet de calculer de façon forfaitaire l’ensemble des frais liés à l’utilisation d’un véhicule en fonction de sa puissance et de la distance qui a été parcourue. Il peut être utilisé par les salariés qui ont choisi les frais réels au lieu de la déduction forfaitaire à 10%.

Le barème prend en compte l’ensemble des frais du véhicule comme l’amortissement du véhicule, le carburant, l’assurance et les réparations. Les seuls frais qui ne sont pas pris en compte sont les frais de péage, les frais de stationnement, ou les intérêts sur emprunt si le véhicule a été acheté à crédit.

L’utilisation du barème kilométrique est-elle obligatoire ?

Non l’utilisation du barème kilométrique n’est pas obligatoire, la comptabilité peut se faire avec l’ensemble des frais au montant réel, mais il faut conserver tous les justificatifs nécessaires. Pour conserver les justificatifs, je vous suggère d’utiliser l’application Evernote qui vous permettra de scanner tous vos justificatifs et de les retrouver facilement grâce au moteur de recherche intégrée. Il reconnaitra même un texte imprimé, ce qui s’avère pratique pour une carte de visite avec le nom et le numéro de la personne.

Le contrôle des frais kilométriques calculés à partir du barème est difficile, l’administration peut demander la copie de la carte grise ainsi que les factures de réparation mentionnant le kilométrage pour vérifier la distance qui a été déclarée.

Le placement en assurance-vie : quel contrat choisir ?

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L’assurance-vie est un produit d’épargne proposant de multiples atouts ; elle fait d’ailleurs partie des placements les plus souscrits Français, notamment pour la flexibilité en termes de condition de sortie. Cela que ce soit pour épargner sur le court, le moyen ou le long terme, voire jusqu’à la retraite. L’assurance-vie se décline en différentes versions, et il est intéressant de bien les (parts de SICAV, des FCP actions, obligations ou monétaires, ou encore des produits dérivés de l’immobilier tels que les SCPI et les OPCI, de même que les SCI. Le marché de ces actifs est plus volatil, générant ainsi des risques de perte en capital pour l’épargnant. Cependant, leur rendement est nettement plus élevé que ceux des fonds en euros. Les assureurs proposent généralement des contrats multisupports permettant à l’épargnant de choisir lui-même le niveau de sécurité de son assurance-vie : niveau prudent, équilibré ou dynamique.

 

Les types de contrat selon les garanties

En ce qui concerne les types de contrat selon les garanties, on distingue l’assurance-vie « en cas de vie », « en cas de décès » et « mixte ».

  • Si l’épargnant est toujours en vie au terme du contrat, il bénéficie des rentes viagères ou du capital fructifié : c’est l’assurance-vie « en cas de vie »
  • Un bénéficiaire préalablement désigné par l’épargnant profite de l’épargne capitalisée qui a été constituée par ce dernier. C’est ce bénéficiaire qui reçoit alors le capital constitué au décès de l’épargnant souscripteur : c’est l’assurance-vie en « cas de décès »
  • Quant au contrat « mixte », il combine les avantages des deux autres cités plus haut

Le choix de l’un ou l’autre de cette catégorie de contrat par rapport aux garanties dépend donc des objectifs patrimoniaux du souscripteur, et il convient de bien savoir les analyser afin de tirer profit des meilleures solutions à terme.

 

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