Les Sociétés Immobilières de Placement Immobilier peuvent aider les investisseurs à avoir des compléments de revenus ou encore à préparer leurs vieux jours, mais aussi pour alléger leur charge fiscale. Cela dépend de comment ils vont placer leur capital.
En SCPI de rendement
Parmi les trois grands types de SCPI, celle de rendement est celle qui permet d’acquérir des parts sur des actifs du type « immobilier professionnel ». C’est en quelque sorte l’offre de base qui attire le plus d’investisseurs. Avec le capital recueilli, des sociétés de gestion vont pouvoir constituer des parcs immobiliers et les exploiter pour en tirer des loyers. L’épargnant recevra ainsi des bénéfices en fonction du montant qu’il a injecté. En savoir plus à travers ce lien.
En SCPI de plus-value
Il est aussi possible de miser son argent sur les SCPI de plus-value ou SCPI de valorisation au contraire des SCPI de rendement, il ne faut pas s’attendre à recevoir des revenus régulièrement. Le but est d’acheter des parts qui prendront de la valeur au fil du temps et de revendre après. De cette manière, il sera possible d’obtenir une importante somme de liquidité à l’issue de l’investissement. C’est avec les SCPI de plus-value aussi que s’applique le principe de démembrement pour réaliser encore plus d’économies (d’impôts et sur le prix des parts).
En SCPI fiscale
De leur côté, les SCPI fiscales sont le type qui permet d’acquérir un patrimoine tout en profitant d’avantages fiscaux. Il existe en effet des mesures de défiscalisation établie par l’État dans le cadre d’investissement immobilier. Et il est possible de les allier avec le principe de SCPI. En effet, un investisseur peut profiter des parts soumises à la fiscalité des lois Malraux, Pinel ou encore sous le dispositif de déficit foncier.
Libre à l’investisseur alors de choisir entre ces trois types de SCPI. Le choix devrait se faire en fonction des objectifs de ce dernier. En tout cas, il y a de nombreux avantages à la clé.
